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Tomber en Amour de Zazie...
Est-ce que tu m'aimes tant que ça, pour vouloir faire de moi, autant de femmes à la fois ?
Chaque fois qu'on oublie,un jour on se souvient. Chaque fois qu'on se lâche, un jour on se retient. Comme quoi on ferait mieux de prendre la vie comme elle vient. Ça fait mal et ça fait rien. Ça n'est pas pour celle que tu embrasses, pas pour ça que je pleure. Si c'est c'que tu crois, tu t'es trompé... Cyber, On est cyber et si bien. Super, Toutes ces machines dans nos mains. Est-ce que c'est pour ces fleurs du mal que ton cœur s'emballe ? Je les arracherais bien toutes ces belles plantes de tes mains. Je m'en vais le crier sur les toits : Je t'aime. Même si ce n'est pas sûr que toi, tu m'aimes. Moi je suis fou de toi... Pourquoi tu te fous de moi ? C'est trop petit un corps pour c'que j'ai à l'intérieur.. Je me suis cognée le cœur. J'ai crié tout c'que j'ai pu. Personne n'est venu... Dis-moi que tout va bien, au creux de l'oreille, que je puisse enfin trouver le sommeil. Berce-moi d'illusions, de rêves de môme : "Quand on sera grand, ils seront gentils les hommes". Dis-moi que j'ai le temps de trouver l'amour, avant que l'amour ne soit plus qu'un rêve d'avant Raconte-moi des histoires que je fasse semblant de croire Que j'ai la vie devant moi... 1, 2, 3 Soleil, je retourne à l'Enfance.. Que personne ne me réveille... Si j'étais moi, Ni les pages à écrire, Ni de trouver les mots pour le dire, Ne me feraient peur. Nos mots... On n'écrit pas sur ce qu'on aime, sur ce qui ne pose pas problème... Voilà pourquoi, je n'écris pas sur Toi. Rassure-toi |
- On devrait pouvoir en rire...
--> Luke
Comment ? C'et la Saint Valentin ? Ah bon... Je savais pas. Ce matin, je me suis levée de bonne humeur. La neige était tombée une partie de la nuit. Sur le bord de ma fenêtre, les oiseaux étaient passés aussi. De légères traces de pattes étaient posés délicatement. Je me suis levée de bonne humeur. Dans ma tête quelques souvenirs sont revenus gentillement. Ma dernière Saint Valentin, je l'avais faite avec le Fantôme, que je ne nomme plus. Le Fantôme m'avait invité au restaurant, m'avait offert ce magnifique bracelet sur lequel je louchais depuis trois mois, et puis, nous étions allés chez lui. Nous n'avons pas fait l'Amour. Nous nous sommes allongés, nus, l'un contre l'autre, j'écoutais son coeur qui battait et lui me caressait les cheveux. Il me dessinait un avenir.Un avenir radieux d'Amour, de Tendresse, de Joie, de Bonne Résolutions. Une journée sans la peur de la Drogue. J'avais aimé cet après-midi. Même si... Non je n'ai pas envie de raconter et de revenir dans mes souvenirs. Je me suis levée de bonne humeur. Une heure trente dans la salle de bain, à hurler après ces plaques rouges de stess' qui apparaissent depuis quelques jours, à me faire belle, à faire que je sente bon. Un message au Garçon. Mettre un peu plus de crème, mettre un peu plus de rouge à lèvre, un peu plus de frisettes dans les cheveux. Jouer à ne pas être Moi. Jouer à être celle que j'aurais aimé être. Le portable sonne sur mon bureau. Je décroche. "Je suis en bas je t'attends" Il n'a pas eu le temps de me le dire, je le savais. Je me suis instaléle cofnortablement dans le siège de la voiture, bien décidée à ne pas bouger. Il est sorti de la voiture, a ouvert le coffre, et puis, il m'a ramené quatre roses. Et puis, il a sorti le discours que je rêve qu'on me sorte depuis des mois. Je rêvais qu'on me le dise, il a fallu que cela soit lui qui comprenne. Il a dit un mot, un seul, et puis, j'ai senti que ma boîte de Pandorre s'était ouverte. J'ai déversé un trop plein de paroles, je ne voulais plus qu'il s'en aille, j'en avais oublié même que je n'étais plus avec. Ma main sur sa joue parfois. Envie de le toucher et qu'il continue de me dire tout cela, de me rassurer, de me dire qu'il avait compris. De me dire qu'il avait compris... Parler sans plus, de tout et de rien. Comme une éternité. Plongée dans ses yeux, il évite mon regard. La culpabilité. Il me parle d'intelligence, il me fait briller le miroir aux allouettes de l'amitié. Il me montre un Avenir si radieux, si parfait. Une éternité... Je rentre chez moi, un peu agard. La voiture n'a pas bougé. Il démarre, s'arrête de nouveau à ma hauteur, ouvre la vitre et il dit ses paroles... J'aurais aimé que ce soit quelqu'un qui m'aime qui me le dise... Mon père, étonné, m'ouvre de nouveau la porte. Je téléphone assez rapidement à Rêveuse, à Lola puis à Lucas. Juste pour rpévenir de l'état. De mon état. Pas une larme, et pourtant j'ai la lèvre qui tremble. Pas parce que j'étais une nouvelle célibataire, mais parce que un inconnu avait su percer ma carapace et me faire une analyse de ma personne tellement vraie. Tellement précise. Il ne m'a jamais vu nue, mais il a réussi quand même à me mettre à nue. Je suis repartie de la maison. Impossible de rester fixe. J'ai juste mis les roses dans un vase. Et puis, je suis repartie. J'ai claqué une grande partie de mon fric. En bouquin, en Cd. Je ne pouvais pas, je ne pouvais plus. Quand j'appercevais mon visage dans un reflet d'une vitrine, j'avais envie de me faire la peau. Des milliers de pensées se sont en gouffrées dans ma petite tête, toute étant bien noire. Le Fantôme était présent. J'aurais pu pleurer pour lui à cette instant. J'aurais pu regretter de ne plus être amoureuse de lui. J'aurais pu... Et puis, j'ai apellé. Victor. Parce ce que Victor est là, toujours là, maintenant, quand j'en ai besoin. Il est venu me chercher en voiture, il 'ma pris longuemment dans ses bras. Et il m'a emmenée voir Lola, Julie et Elise. J'ai apprécié son geste. Il n'a pas essayé de me aprler. Il a juste écouté patiemment comment cela c'était passé. Et puis, il m'a fait rire. J'ai bu mon éternel diabolo pêche au contact des filles, un peu de baume au coeur, même si.. Ce n'est qu'une crème. je suis repartie. Victor m'a redescendu en ville en me montrant de jolies vacances auprès de lui, tous els deux animateurs pour enfants. Nous avons ris. Je suis sortie de la voiture. De gros flocons. Enormes. Moi avec mes Converses je prenais l'eau. Je marchais sous la neige, parce que je le voulais. J'ai foncé au Donjon. C'est toujours là que je vais quand ça ne va pas. J'ai pris des photos. La neige tombait de plus en plus fort. Je m'en foutais. Je suis revenue à pied. A l'autre bout de la ville, chez mon père. Mon nez coulait, j'avais les joues rouges. Pas de chocolat chaud quand je suis rentrée. Pas de... Pas ce que j'attendais. Ce sentiment d'être toujours déçue, toujours trahie, toujours incomprise. Jamais satisfaite... Putain.. Ce soir, je travaille. Baby sitting. Je ne sais pas dans quel état je vais y aller. Un bout de fierté touché, un bout de coeur enlevé. Espoir parti. Parfois... On devrait pouvoir en rire... (Pas relu.. Je peux pas... )
Vendu à Broutille, le Lundi 14 Février 2005, 18:42 dans le coeur "Journal Intime".
Tomber Amoureux
Coup(s) de foudre :
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Juste un Coup de Foudre...
Le rêve n'est plus quand tu n'es plus là.
Si tu cherches ton chemin, suis les étoiles de mes yeux... Je serai là dès que je pourrais mais je suis occupé à recoller les morceaux brisés de la vie que j'avais avant. Muse Le Monde pleure, mais garde le sourire Saez Tout le monde veut être extraordinaire, que cela va devenir extraordinaire d'etre quelqu'un d'ordinaire Koltès Dry Your Eye, Soulmate, Dry Your Eye, 'Cause Soulmate Never Die... Placebo Le Monde grouille d'assassins; c'est à dire de personnes qui se permettent d'oublier ceux qu'ils ont prétendu aimer. Amélie Nothomb Si je devais recommencer ma Vie, Je n'y changerais Rien, J'ouvrirais juste un Peu les Yeux. Jules Renard |
à 19:08