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Tomber en Amour de Zazie...
Est-ce que tu m'aimes tant que ça, pour vouloir faire de moi, autant de femmes à la fois ?
Chaque fois qu'on oublie,un jour on se souvient. Chaque fois qu'on se lâche, un jour on se retient. Comme quoi on ferait mieux de prendre la vie comme elle vient. Ça fait mal et ça fait rien. Ça n'est pas pour celle que tu embrasses, pas pour ça que je pleure. Si c'est c'que tu crois, tu t'es trompé... Cyber, On est cyber et si bien. Super, Toutes ces machines dans nos mains. Est-ce que c'est pour ces fleurs du mal que ton cœur s'emballe ? Je les arracherais bien toutes ces belles plantes de tes mains. Je m'en vais le crier sur les toits : Je t'aime. Même si ce n'est pas sûr que toi, tu m'aimes. Moi je suis fou de toi... Pourquoi tu te fous de moi ? C'est trop petit un corps pour c'que j'ai à l'intérieur.. Je me suis cognée le cœur. J'ai crié tout c'que j'ai pu. Personne n'est venu... Dis-moi que tout va bien, au creux de l'oreille, que je puisse enfin trouver le sommeil. Berce-moi d'illusions, de rêves de môme : "Quand on sera grand, ils seront gentils les hommes". Dis-moi que j'ai le temps de trouver l'amour, avant que l'amour ne soit plus qu'un rêve d'avant Raconte-moi des histoires que je fasse semblant de croire Que j'ai la vie devant moi... 1, 2, 3 Soleil, je retourne à l'Enfance.. Que personne ne me réveille... Si j'étais moi, Ni les pages à écrire, Ni de trouver les mots pour le dire, Ne me feraient peur. Nos mots... On n'écrit pas sur ce qu'on aime, sur ce qui ne pose pas problème... Voilà pourquoi, je n'écris pas sur Toi. Rassure-toi |
- J'ai voulu rêver.
Perdue derrière mes mèches, les bras croisés et la tête posée sur le côté, je le regarde. Il dort paisiblement, tandis que notre professeur d'Histoire est en train de nous raconter comment l'URSS s'était effondrée.
Même en essayant de faire un effort pour ne pas m'intéresser et le laisser dormir en paix, je n'ai pas pu m'empêcher de poser certaines questions. Même lui n'arrive pas à me défaire de mon défaut de vouloir savoir. Pourtant il est si parfait quand il dort... Parfois, au détour d'un regard, je rapproche ma main de sa figure, et je lui caresse l'oreille. Je ne sais pas pourquoi je fais cela. Mais c'est dans ces moments que je me sens terriblement vulnérable et que j'oublie tout. Et puis, quand il se réveille, avec la marque du cahier sur le côté, il me regarde avec un petit sourire et toujours ce clin d'oeil. Je lui caresse le dos et la cuisse . Il me sermonne d'un regard comme si je venais de créer chez lui des millions d'envie mais, qui ne sont pas pour nous. Nous sommes amis et nous y resterons. [ ... ] Cela fait une ou deux journées que je ne sais plus comment passe le temps. Si je suis toujours moi ou si je flotte tranquillement à côté de mon corps. Parfois, j'ai vraiment envie de baisser les bras et de me dire que tout cela est trop dure, trop compliqué à comprendre. Je n'ai plus vraiment envie de réfléchir. Enfin, je ne veux plus réfléchir aux questions que j'ai décidé de me poser depuis six jours maintenant. Pour ceux qui ne serait pas au courant, mon anniversaire, c'est dimanche. Je passe un cap comme on arrête pas de me répéter. Je vais avoir 18 ans. Et j'ai mal. J'avais décidé de faire table rase de mon passé. De comprendre mes erreurs. Et j'ai commencé il y a un mois. A essayer de voir telle ou telle personne pour comprendre. A essayer de reprendre contact, de forcer les gens à m'expliquer ce que moi j'avais loupé dans ma première phase d'adolescence. J'avais décidé de savoir qui j'étais, où j'en étais et comment j'y étais arrivée. Je ne vais pas me mentir, et je sais que le chemin est vraiment encore très long. Je crois qu'on ne peut pas régler trois ans en quelques jours. Je crois même que je viens d'ouvrir des failles et que le présent s'engouffre aussi vite qu'il peut dedans. Alors j'ai voulu refermer. Parfois, j'ai très mal refermé, et cela ressort en torrent de larmes. N'importe quand. N'importe où. Pour n'importe quoi. Parce que Lola ne répond pas à mes attentes, parce que je me sens seule, parce que David m'écrit, Théo découvre, parce que Lucas est un ami, parce que... J'ai l'impression de revivre sans fin des moments que j'ai déjà vécu. Je n'ai pas tiré les leçons du passé. Je n'ai pas su me débrouiller avec ce qui m'était arrivé. Je n'ai jamais parlé de mon collège. J'ai jeté un voile pudique sur ce passé qui me fais parfois encore souffrir. Sur mon enfance. Rien après 7 ans. Ou alors quelques bribes, quelques morceaux de mal-être que j'ai enfouie, enterré, et que j'ai voulu oublié parce que... Parce que. Justement. Je me cache derrière ce "parce que" . Je ne sais jamais su vraiment ce qui se cachait derrière cette peur que j'ai eu pendant deux longues années de revenir sur cette période. Je ne sais pas non plus pourquoi je n'ai jamais voulu réouvrir le coffre du divorce et que je le fais juste pour mes 18 ans. Juste parce que c'est maintenant que je passe un cap. Juste parce que. "Parce que..." J'ai commence à réellement me demander ce qui se passait dans ma tête, il y a un mois. Quand j'ai pris conscience que mon bonheur n'était qu'une chose éphémère, que dès qu'on avait le dos tourné, qu'on s'envolait, qu'on oubliait négligemment qu'on pouvait souffrir, il nous abandonnait. Je ne me plains pas. Je ne dis pas que j'en ai marre, que je veux mourir, que je pense au suicide. Non, j'ai encore bien trop de rêves pour dire cela. Juste que parfois je m'abandonne à mes pensées, que je vagabonde au grès de mes humeurs souvent noires. Et que si personne ne vient pas me divertir, je tombe dans une longue léthargie. Je suis devenue de plus en plus possessive. Regrettant que certaines personnes en voient d'autres, piquant des crises de jalousie pour rien, et puis, j'ai toujours ce sentiment d'être abandonnée alors que non. Je n'y suis pas. C'est juste moi qui ai changé mon rapport avec les gens. Je fais moins confiance, je dis moins ce que je pense, je ne raconte ma vie qu'à très peu de personne. Je n'essaye pas de trouver des excuses à certains individus. Ils s'éloignent et je signe et résigne ce que je viens de dire. Ils s'éloignent mais je ne fais rien non plus pour les retenir. Ou alors, si peu. Cela ne fait seulement quelques jours que je peux enfin dire ce que je pense à Lola. Et encore elle ne sait que le dixième de ce qui se passe dans ma tête. Je n'ose pas. Je n'ose pas dire à certains que je tiens incroyablement à eux, et je n'ose pas non plus aller voir ceux qui me créent autant de complexes et de soucis et leur dit " Bon écoute, maintenant tu te la fermes. Tu ne m'aimes pas, cela tombe bien, moi non plus. On a pas la même vie, et encore heureux, on aura jamais les mêmes points de vue, mais maintenant tu te la fermes et tu grandis dans ta tête".. ( Je m'impressionne moi-même là... ) Et toujours je me décourage... J'ai envie de m'abandonner à mes douces pensées, j'ai envie de m'envoler au fin fond de ma conscience et de vivre dans ma petite bulle. Je ne veux pas retourner dehors, je ne veux pas me confronter à eux. J'ai voulu en rêver. J'y ai cru. Et puis. Parce que. Au fin fond du coffre, on a découvert un trésor.. Et même que c'était pas dangeureux. Vendu à Broutille, le Jeudi 6 Janvier 2005, 22:39 dans le coeur "Journal Intime".
Tomber Amoureux
Coup(s) de foudre :
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Juste un Coup de Foudre...
Le rêve n'est plus quand tu n'es plus là.
Si tu cherches ton chemin, suis les étoiles de mes yeux... Je serai là dès que je pourrais mais je suis occupé à recoller les morceaux brisés de la vie que j'avais avant. Muse Le Monde pleure, mais garde le sourire Saez Tout le monde veut être extraordinaire, que cela va devenir extraordinaire d'etre quelqu'un d'ordinaire Koltès Dry Your Eye, Soulmate, Dry Your Eye, 'Cause Soulmate Never Die... Placebo Le Monde grouille d'assassins; c'est à dire de personnes qui se permettent d'oublier ceux qu'ils ont prétendu aimer. Amélie Nothomb Si je devais recommencer ma Vie, Je n'y changerais Rien, J'ouvrirais juste un Peu les Yeux. Jules Renard |
à 22:57