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Tomber en Amour de Zazie...
Est-ce que tu m'aimes tant que ça, pour vouloir faire de moi, autant de femmes à la fois ?
Chaque fois qu'on oublie,un jour on se souvient. Chaque fois qu'on se lâche, un jour on se retient. Comme quoi on ferait mieux de prendre la vie comme elle vient. Ça fait mal et ça fait rien. Ça n'est pas pour celle que tu embrasses, pas pour ça que je pleure. Si c'est c'que tu crois, tu t'es trompé... Cyber, On est cyber et si bien. Super, Toutes ces machines dans nos mains. Est-ce que c'est pour ces fleurs du mal que ton cœur s'emballe ? Je les arracherais bien toutes ces belles plantes de tes mains. Je m'en vais le crier sur les toits : Je t'aime. Même si ce n'est pas sûr que toi, tu m'aimes. Moi je suis fou de toi... Pourquoi tu te fous de moi ? C'est trop petit un corps pour c'que j'ai à l'intérieur.. Je me suis cognée le cœur. J'ai crié tout c'que j'ai pu. Personne n'est venu... Dis-moi que tout va bien, au creux de l'oreille, que je puisse enfin trouver le sommeil. Berce-moi d'illusions, de rêves de môme : "Quand on sera grand, ils seront gentils les hommes". Dis-moi que j'ai le temps de trouver l'amour, avant que l'amour ne soit plus qu'un rêve d'avant Raconte-moi des histoires que je fasse semblant de croire Que j'ai la vie devant moi... 1, 2, 3 Soleil, je retourne à l'Enfance.. Que personne ne me réveille... Si j'étais moi, Ni les pages à écrire, Ni de trouver les mots pour le dire, Ne me feraient peur. Nos mots... On n'écrit pas sur ce qu'on aime, sur ce qui ne pose pas problème... Voilà pourquoi, je n'écris pas sur Toi. Rassure-toi |
- Le fond du fond de la connerie.
J'ai passé une bonne journée. Je commence à me dévoiler à de nouvelles personnes, en évitant soigneusement de penser aux anciennes, pour ne pas me dire que j'ai toujours mal. Parce que j'ai vraiment mal.
Tous les matins, lorsque je sors de mon immeuble, je marche sur le boulevard. Devant moi, le lycée, à côté mon école primaire, puis un peu plus loin, juste après mon école maternelle, il y a le collège. La proximité de ces quatre lieux de vies qui ont bercé ma scolarité est quelque chose qui m'a toujours apaisée. Me dire que mes professeurs, mes maîtresses n'étaient pas loin me fait du bien. A 17 heures, j'étais tranquillement "vautrée" contre un poteau "interdiction de tourner à droite", au carrefour de ces quatre lieux. Je parlais tranquillement avec Lucas ( celui qui a perdu sa cousine la semaine dernière..). Je discutais vraiment de bon coeur, de bon en train, j'avais envie de me livrer. On était que tous les deux, dans le froid, on se regardait, on se comprenait,. On parlait de la vie, de la mort, de Moi, de Lui. Un de ces moments qui vous font dire que la personne en face de vous est exceptionnelle. J'allais me livrer enfin après deux semaines de non-confidences. Et puis, j'ai vu arrivé un espèce de mec. Gueule de travers, survêtement blanc, chaussette au-dessus et baskets. D'habitude, je ne m'arrête pas au stéréotype et je préfère me dire que cette personne a fait un choix de look. Surtout que je connais des personnes riches d'émotions, de sincérité ayant adoptées ce look. Moi, j'étais appuyée toujours contre mon "interdit de tourner à droite". Je l'ai vu s'avancer vers nous, et je savais déjà qu'il allait venir "tromper" ce moment d'intimité. Je ne me suis pas loupée. Le mec est arrivé, avec un autre mec, lui, l'antithèse du premier : lunettes, petit pantalon, chaussure de ville, la tête de l'intello qu'on martyrise tous le long d'une scolarité. Il est arrivé, puis il a commencé à "parler" à Lucas. Je mets parler entre guillemets, car, je ne trouve pas qu'il sache parler. J'apelle "parler" toute forme de phrase ayant un sujet, verbe complément. Mais là, ce n'était pas le cas. J'étais appuyée contre mon "interdiction de tourner à droite". Lucas, lui, savait que ce mec était le fameux nouveaux mec de son ex avec qui il est resté deux ans et demi. ( Oui je sais, les fastes d'une vie d'adolescente sont du genre à me faire sourire...). Ce fameux "policemen de la rue" commence donc son discours. Je ne sais pas exactement combien de temps cela a duré. Tout ce que je sais c'est que j'ai entendu " petit con" "petit pédé"," sale connard", " gros fils de pute" " sur la vie de ma mère j'vais te défoncer ta gueule", "j'ai la rage" "tu vas crever". Ce que j'ai aimé dans cette interlude de béatitude, c'est le discours. Non pas que je sois une anti- NTM, loin de là, mais j'ai été agressé par ces paroles. Et le p'tit à lunette qui sort : " Et la fille, là ! Elle peut dire que tu as dis des menaces contre l'autre con. Fais gaffe" Le "policeman de la rue" m'a regardé. J'avais ce sourire à la noix que j'ai quand je me déconnecte du Monde. Il m'a regardé. Juste un regard. Et il a repris son discours. Il en avait rien à foutre de ma gueule. Puis c'était les enchères " Moi j'vais ramener 36 gars pour te défoncer la gueule!" Lucas, très calme " Moi 70 !" l'autre répond " Moi 80 !". Je me suis dis que dire " Adjugé, vendu ! " serait mal interprété et que mon humour de pseudo-intellectuelle serait sûrement mal compris. Le "policemen de la rue" s'est alors approché de Lucas. J'me suis redressée. Il a mis son front contre son front. Puis il lui a dit " Je sais pas ce qui me retient de te péter la gueule, Tit Pédé." Et là, j'ai sorti mon poing, et j'l'ai tabassé, toujours et encore et il pleurait sa mère. [ C'est beau de rêver... ] J'ai pas bougé, quand il a bousculé Lucas. J'ai pas bougé. Le "petit intello à lunette" me regardait de plus en plus insistement. Comme si j'étais la véritable fautive, celle d'où viendrait le poing. J'avais mal pour Lucas. J'avais mal parce que, je savais qu'il souffrait avec le décès de sa cousine, je savais qu'il souffrait de ne plus être avec son ex. Je savais tout ça. Et l'autre abruti venait "faire chier". Puis il est reparti, comme il est venu. Moi j'ai dis un" Bonne soirée!" qui a fait sourire Lucas, et mon ami a pu déverser ce trop plein qu'il avait. Sa "fierté" avait été touché. J'avais envie de lui dire que si sa fierté avait été touché par un abruti pareil, il avait du soucis à se faire. Mais je l'ai écouté, soigneusement, en rajoutant des mots l'encourageant à aller plus loin, montrant mon indignation, la barbarie de cet acte. Ce que je retiens surtout, c'est l'harmonie que ce mec a cassé en quelques secondes entre Lucas et moi. Le pire de cette histoire, c'est que j'ai des remords à ne pas avoir bougé. A ne pas avoir sorti la "petite" phrase qui aurait tuer l'autre. Seulement je ne sais pas si il aurait eu les capacités intellectuelles à la comprendre. Alors à quoi bon ? N'empêche, que j'avais l'impression d'être au Moyen-Âge ou dans un monde parallèle. [ Je ne viens pas le soir sur le Net pour ceux qui me parle sur MSN , car je préfère assurer pour mon week end avec vous savez qui :) Bizz ] Vendu à Broutille, le Mardi 7 Décembre 2004, 18:07 dans le coeur "Journal Intime".
Tomber Amoureux
Coup(s) de foudre :
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Juste un Coup de Foudre...
Le rêve n'est plus quand tu n'es plus là.
Si tu cherches ton chemin, suis les étoiles de mes yeux... Je serai là dès que je pourrais mais je suis occupé à recoller les morceaux brisés de la vie que j'avais avant. Muse Le Monde pleure, mais garde le sourire Saez Tout le monde veut être extraordinaire, que cela va devenir extraordinaire d'etre quelqu'un d'ordinaire Koltès Dry Your Eye, Soulmate, Dry Your Eye, 'Cause Soulmate Never Die... Placebo Le Monde grouille d'assassins; c'est à dire de personnes qui se permettent d'oublier ceux qu'ils ont prétendu aimer. Amélie Nothomb Si je devais recommencer ma Vie, Je n'y changerais Rien, J'ouvrirais juste un Peu les Yeux. Jules Renard |
à 10:42