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Tomber en Amour de Zazie...
Est-ce que tu m'aimes tant que ça, pour vouloir faire de moi, autant de femmes à la fois ?

Chaque fois qu'on oublie,un jour on se souvient.
Chaque fois qu'on se lâche, un jour on se retient.
Comme quoi on ferait mieux de prendre la vie comme elle vient.
Ça fait mal et ça fait rien.

Ça n'est pas pour celle que tu embrasses, pas pour ça que je pleure. Si c'est c'que tu crois, tu t'es trompé...

Cyber, On est cyber et si bien.
Super, Toutes ces machines dans nos mains.

Est-ce que c'est pour ces fleurs du mal que ton cœur s'emballe ? Je les arracherais bien toutes ces belles plantes de tes mains.

Je m'en vais le crier sur les toits : Je t'aime.
Même si ce n'est pas sûr que toi, tu m'aimes.
Moi je suis fou de toi... Pourquoi tu te fous de moi ?

C'est trop petit un corps pour c'que j'ai à l'intérieur..
Je me suis cognée le cœur. J'ai crié tout c'que j'ai pu.
Personne n'est venu...

Dis-moi que tout va bien, au creux de l'oreille, que je puisse enfin trouver le sommeil.
Berce-moi d'illusions, de rêves de môme : "Quand on sera grand, ils seront gentils les hommes".
Dis-moi que j'ai le temps de trouver l'amour, avant que l'amour ne soit plus qu'un rêve d'avant
Raconte-moi des histoires que je fasse semblant de croire
Que j'ai la vie devant moi...

1, 2, 3 Soleil, je retourne à l'Enfance..
Que personne ne me réveille...

Si j'étais moi, Ni les pages à écrire, Ni de trouver les mots pour le dire, Ne me feraient peur.

Nos mots...
On n'écrit pas sur ce qu'on aime, sur ce qui ne pose pas problème... Voilà pourquoi, je n'écris pas sur Toi. Rassure-toi

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Cracher des bouts de verre
Quatre jours.

J'ai tenu exactement quatre jours avant de craquer littéralement. J'ai craqué ce matin, en pleurs, à 7h26. Nuit de cauchemar, comme toutes les nuits, nuit de solitude, face à l'obscurité. Cauchemars où je suis toujours en échec, cauchemars où je meurs, cauchemars de tout et de rien.

Alors, je suis restée à la maison. Et j'ai essayé de dormir un peu, juste parce que je pensais que le sommeil me ferait oublier. J'ai dormi, et toujours, ces mêmes cauchemars, où je n'arrive pas à me faire telle ou telle tâche, ou je n'arrive pas à traverser une épreuve. J'ai donc encore craqué une fois de plus.

Pourtant, je suis allée voir le médecin hier, et je me suis retrouvée bloquée, gênée, ne sachant que dire " Alors Marie, qu'est ce qui ne va pas ?" Je l'ai regardé, et je n'ai rien dis. Non pas que je sois rester muette, loin de là, mais je n'ai rien dis vraiment. Je n'ai pas dis ce qui n'allait pas vraiment.

Ce qui cloche chez moi, c'est que je ne me confie plus. Que je ne dis plus rien, ou juste le strict minimum. Que je garde tout pour moi, parce que je ne veux plus me confier. Et je ne sais pas pourquoi je ne veux plus. Est ce parce que je me sens abandonnée ? Ou est ce que parce que j'ai encore du mal à digérer les trahisons de la Toussaint ? Peut-être les deux. Sûrement les deux.

Alors, forcement, quand vous chargez la barque, elle coule. Et vu qu'en ce moment, je charge vraiment la bateau, entre David, Monsieur Tatouage, mon avenir et mes angoisses existentielles, et bien, je coule. Je coule en pleurant, en tremblant, en faisant sortir cette colère, ces angoisses, ce stress en explosant. En devenant tellement fragile, que ensuite, j'ai honte d'avoir craqué, et cela me crée une nouvelle frustration, qui mets en route la prochaine crise.

Je me sens ridicule quand, au détour d'une conversation, je glisse un " J'étais absente ce matin... Non, non ça va mieux..." Ou qu'on me regarde avec un regard me disant "oui je comprends, mais je sais que..." Je hais les regards de compassion, et qu'on n'essaye même pas de faire sauter le carcan de mon silence.

Il n'y a que ma petite soeur qui a réussi. Qui a réussi à me faire dire ce qui n'allait pas. A faire sortir ces mots, à me faire dire que j'étais démotivée et angoissée par mon manque d'envie, parce que je n'avais plus aucun contact avec les autres. Les autres qui s'en sortent très bien sans moi. Je m'en sors moins bien sans eux. Mais je sais que je vais y arriver. Je sais, que j'ai la solution quelque part.

C'est le début de la solitude, c'est le début de l'indifférence.
Et le pire, c'est que je sais que cela va durer longtemps...

Excuse moi de ne pas y arriver....
Vendu à Broutille, le Vendredi 3 Décembre 2004, 11:31 dans le coeur "Journal Intime".
Tomber Amoureux